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Enveloppé dans l'étroitesse du Red Strings Club mais dans l'immensité d'un monde profondément cyberpunk, c'est un jeu qui a transcendé mes attentes. C'était un voyage riche et profondément émouvant, une expérience qui restera gravée dans mon cœur bien après avoir éteint l'écran.

L'histoire, qui est le cœur du jeu, est non seulement captivante mais aussi pertinente dans un monde où la technologie et l'humanité se mêlent. Ce jeu sait tenir ses promesses en laissant un sillage d'émerveillement, d'admiration mais aussi de questionnement derrière chaque scène, chaque échange, chaque dialogue.

La musique, un véritable chef-d'œuvre, joue un rôle majeur dans cette atmosphère. Poétique et dramatique, toujours pertinente bien qu'un peu répétitive sur la fin.

L'esthétique est tout aussi parfaite. Un pixelart 2D subtil, en symbiose avec le scénario. On a vraiment l'impression d'être immergé dans un tableau vivant. Les animations sont légères mais pleine de sens.

Les dialogues sont la proue du navire, guidant le joueur à travers une mer de réflexions profondes sur la liberté individuelle, le libre arbitre ou tout simplement le sens de la vie, rien que ça. Jamais trop long, parfois légers mais plus souvent profonds et provocants, ils laissent le joueur décider des réponses sans jamais le brimer. Sauf peut-être à la fin, mais il faut bien une conclusion à cette intrigue.

La notion de liberté est subtilement mise en lumière. Le jeu tisse l'illusion que chaque choix de dialogue a des conséquences, créant une atmosphère si palpable que l'on hésite à revivre l'expérience. C'est comme si l'on avait peur de défaire le tissage de notre histoire unique, qui semble parfaite telle qu'elle est. On veut juste garder ce souvenir impérissable et je ne suis sincèrement pas sur de vouloir y rejouer.

Le gameplay pur est subtil. Léger, peut-être un peu trop mais ce n'est clairement pas le coeur du propos. Je ne crois pas qu'on puisse perdre ou avoir un écran de game over. Ce n'est pas le but. Voyez plutôt cela comme un visual novel interactif avec une grosse pointe de roleplay.

Le jeu se termine 5 heures environ.

En somme, The Red Strings Club est bien plus qu'un jeu, c'est une expérience envoûtante, une réflexion existentielle et une célébration de l'art de raconter des histoires. Un voyage que je recommande vivement à tous ceux qui cherchent à explorer les limites de la liberté, de l'humanité et de la technologie.

Le petit jeu du dimanche qu'on lance avec plaisir avec sa moitié (ou un ami), si possible en local sur le canapé. On est littéralement transporté par son univers fantastique qu'on parcours avec un grand plaisir à chaque instant. Le jeu n'est jamais frustrant et est rempli de centaines de bonnes idées ; et pourtant, le gameplay change a chaque environnement avec à chaque fois de grandes idées. Un jeu comme en voit très rarement. Une perle vidéo-ludique, mon GOTY jusqu'à présent.
Jouez à ce jeu, il est grandiose !

Inutile de présenter cette merveille de jeu de société. Le jeu vidéo est parfaitement adapté. Il ne manque plus que la campagne du jeu originale qui devrait arriver bientôt. Chapeau bas à l'équipe de développement.

Dommage. Le jeu serai sorti en 2021, nous aurions le GOTY assuré. Malgré tout, après pour l'instant une cinquantaine d'heures de jeu, je prends un plaisir sans failles. Dans ce test, je vais juste traiter des quelques sujets qui me tiennent à coeur.

L'histoire est excellente bien que relativement classique dans le genre. Elle contient de nombreuses bonnes idées et vous tiendra en haleine tout au long de l'aventure. Pour moi, c'est le point fort du jeu. Et le choix du FPS permet d'accentuer cette immersion, parfois presque dérangeante.

La sexualité est abordée de manière très ouverte tout en étant très osée (soyons honnête, rien de choquant non plus). J'apprécie tout particulièrement la liberté de création que CD Projekt a permis dès l'éditeur de personnage. En bref, l'effort est là car peu de studio s'en préoccupent. Je n'ai pas vu beaucoup de jeux où l'on peut décider de créer un personnage au corps d'homme, avec une voix féminine et un vagin. Et même si cela reste anecdotique niveau gameplay, c'est un point à noter. D'ailleurs, les pnj ont aussi leur propre liberté sexuelle et il ne vous sera pas possible de leur en imposer une autre. Pour moi, c'est un autre gage de grande qualité et d'ouverture d'esprit de la part du studio.
Par contre, il faut se calmer sur les critiques. Le jeu n'est jamais vulgaire dans les romances. Et si certaines scènes sont très érotiques, le jeu est loin du porno et beaucoup plus proche d'une romance avec plus si affinités. Les sexshop sont des sexshops, certes des années 2077, mais ça reste les mêmes qu'on a en 2020.

Le gameplay n'est pas parfait. Sans doute que l'IA est majoritairement responsable (difficile de comprendre pourquoi autant d'ennemis ont des problèmes de vision, voir l'inverse, ils voient à travers les murs). Malgré tout, c'est extrêmement fun, quelque soit la spé. Attention tout de même aux afficionados du hacking. Cet aspect, bien que très fun rendra assez rapidement le jeu beaucoup trop facile.
Un petit conseil : testez un peu tout (le pompe cinétique <3) et ne vous spécialisez pas trop au risque de rouler littéralement sur le jeu.
Pour finir sur le gameplay, les déplacement sont parfois frustrants. De nombreux objets peu visibles peuvent bloquer votre progression (c'est particulièrement problématique si vous jouez au corps-à-corps).

La conduite est beaucoup critiquée mais moi je la trouve pourtant très correcte. Les véhicules ont tous des comportements très différent et je pense que c'est ce qui déplait car un bon nombre de ces véhicules sont de véritables caisses à savon. Pour moi, cela reste un point positif du jeu malgré les bugs, très présents dans les phases de conduite, surtout au niveau des collisions.

Les bugs sont très présents. Corrigés dans les mois à venir certes, mais si vous vous sentez capable d'attendre quelques mois, ne vous privez pas. Aucun bug n'aura été bloquant pour moi mais un bug nous sort souvent de l'immersion. Cela peut-être un bug bête comme un PNJ qui se téléporte, une voiture qui explose sans raison... ou plus gênant comme passer à travers le sol ou se bloquer temporairement dans une texture.

Mais, ce qui me fait mettre cette note de 8, c'est cette ville. Une ville labyrinthique qui donne parfois le vertige. Night City, un peu à la manière d'un New York du futur, se dévoile à travers de nombreux quartiers aux différentes ambiances et atmosphères. Les quartiers sont très stigmatisés avec des communautés bien marquées et des "guerres" de territoires. Je suis franchement émerveillé par le travail de CD Projekt sur le mapping. Dommage peut-être qu'il y ai autant de missions à chaque pâté de maison.
Globalement, l'immersion est totale, et encore une fois, le mode FPS l'accentue grandement.

Première partie : En tant que roi de Bretagne, j'ai fondé un nouvelle foi druidique polygame et comme cette foi prônait l'égalité des sexes, ma mère (d'une autre dynastie) est devenue héritière. Quelques mois plus tard, je me fais assassiner et la dynastie de ma mère hérite du trône de Bretagne. Mon fils lui a hérité du comté de Nantes et n'avait plus que ses yeux pour pleurer.
Regrets/20

La plupart des reviews actuellement ne savent pas ce que c'est qu'un TCG/CCG.

Artifact semble bien parti pour devenir une référence à côté de Hearthstone et MTGO. Ici, on est dans un jeu beaucoup plus hardcore avec énormément de mind-game et infininement plus de possibilités que Hearthstone. Reste à espérer que Valve saura proposer des extensions de qualité avec tout autant de fun que de bon balancing.

Quoiqu'il en soit, les bases sont là.

Un vrai plaisir à chaque niveau. Pensez que ça commence quand vous terminerez le jeu :)

Malgré un portage un peu baclé pour les joueurs au clavier-souris (après, soyons honnête, c'est pas non plus catastrophique hormis quelques mouvements de camera non souhaités) et des problèmes de connexion quasi quotidiens depuis la sortie (enfin ça fait tout juste 2 semaine, ces problèmes devraient être bientôt réglés) ce jeu est mon GOTY.

C'est mon premier Monster Hunter et je suis bien content de ne pas être passé à côté de celui-ci. La difficulté est au rendez-vous, les combats sont tous épiques, longs, profonds et intéressants. Ils vous obligeront pour la plupart à analyser les faiblesses du monstre pour orienter votre équipement, à réfléchir aux différentes situations qui s'offrent à vous, à vous préparer à l'avance (pièges, nourriture, potions, etc.), à ne pas foncer dans le tas, à profiter des situations inattendues (la venue d'un autre monstre plus fort, la fatigue du monstre, des erreurs qu'il peut commettre, etc.), à prendre votre temps avant chaque combat et malgré cela, à vous punir de la moindre erreur. Une punition juste la plupart du temps, mais avec la possibilité d'être aidé par un moyen astucieux d'appel à l'aide qui tombe (presque) toujours à point.

Alors tout n'est pas parfait comme par exemple, l'histoire du jeu qui est complètement bancale ou encore la musique du hub principal qui est la plus répétitive qui soit (et qui me sort par la tête) mais malgré ce qui se dit sur les critiques, vous pouvez acheter ce jeu les yeux fermés. Vous ne serez pas déçu.

Véritable référence et bijou de la part de Paradox. Par contre, armez-vous de patience si vous souhaitez obtenir tous les DLC. La note va être salée.
Les deux DLC indispensables pour profiter pleinement du jeu : Art of War et Common Sense. Le reste est facultatif pour vos premières parties.

Best, game, ever.