PoorPocketsMcNewHold 最近的评测

Absolutly unplayable on my non-rtx configuration, this ¨playable mod tech demo¨ is certainly worth trying.

Borderlands aurait plus se contentait d´être un énième jeu en coop avec 4 joueurs avec seulement son esthétique et atmosphère pour se distinguer visuellement uniquement.
S’ils n´avaient pas pensé à son aspect RPG !
Car voyez, C´est l´un des principaux points du jeu qui rend l´expérience coopérative supérieure,
Des tonnes d´armes différentes à utiliser s´adaptant plus à certaines classes de personnages que d´autres (D´ailleurs, Par tonnes d´armes, c´est actuellement un record du monde, si !), un système de combat avec vos buff/boucliers/effets et système de niveau et d´arbre de compétence, permettant de permettre d´évoluer et de pouvoir affronter les ennemis montant de niveaux eux aussi.
Qu`a seul dans le noir, où à plusieurs, Borderlands est juste une valeur sûre, si vous souhaitez prendre du plaisir à exploser des têtes.
D´ailleurs, J´ai dit cake FPS, car cela ressemble à Quake...vous savez, Quake...
Si, c´est un des précurseurs du genre.
...
Toujours pas ?
https://psteamproxy.yuanyoumao.com/app/2310
Bon, allez-y, Je ne peux plus rien faire pour vous.

Ah, Artifact, Vous savez ? Le tout dernier jeu de VALVe, haïs pour être un jeu de carte sur la franchise Dota. J’y m’y suis habitué à en réagir de même, par la recrudescence de jeux de cartes tentant de s’approprier sur le succès de Heartstone. Bien que celui-ci était bien loin de réussir à y surfer sur cette mode, car sortit beaucoup trop tard pour apparaître similairement dans les résultats de recherche pour ce précédent jeu. Or, ce fût absolument pas ce qui était prévu avec celui-ci. Artifact fût conçu sous les attraits et décisions de Richard Garfield, un nom principalement reconnu pour le jeu de carte à collectionner Magic : The Gathering, n’étant à ma connaissance, juste un vague souvenir de gosse, ne comprenant rien au jeu, mais collectionnant ces cartes seulement pour leurs illustrations. Or, nous y voilà devant ce jeu, Artifact. Et je me suis fait tellement fait avoir de suivre juste les hurlements de la populace envers ce jeu. Artifact est un jeu avec un gameplay plus avancé encore qu’un grand nombre précédents jeu de cartes que vous auriez précédemment vu, joué et possiblement imaginé. Son concept est extrêmement similaire envers Dota, auquel son univers y est basé. Comme la plupart des MOBA, Trois lanes (Trois chemins), et donc ici, trois plateaux de jeu. Votre but ? Briser les points de vie de la tour de deux des trois lanes de votre adversaire, ou détruire la tour principale de l’une des lanes. (Bon, d’accord, pas exactement comme un MOBA, mais vous ne vous attendiez pas quand même à un jeu de plateau auquel vous bougeriez les cartes des pions, non ?) Au même fait de devoir planifier votre stratégie sur trois plateaux différents, les héros que vous utilisiez possède tous des capacités propres selon leurs types qu’ils peuvent utiliser contre leurs ennemis ou mobs (Les autres créatures ennemies), de plus se rajoute les objets à leur faire équiper aussi individuellement, suivant encore l’aspect du MOBA éponyme. Et se rajoute encore à cela les même principe de boutique ou échoppe secrète vous permettant d’acheter des cartes en partie avec les jetons agrémentés sur les performances de vos cartes alliées, ou du principe de la fontaine de régénération, vous permettant de rejouer vos cartes de héros plus tard dans la même partie après certains tours réservé à se régénérer. Et malgré en combinant ma maladresse stratégique importante dans tous les jeux de moba ou de cartes, Je m’amuse. Malgré l’écran de partie perdu continuel, Malgré mes ennemis m’écrasant tous à la suite ; J’en continue à refaire mes decks et tenter de peaufiner mes stratégies. Mon jeu nemesis est devenu par ces heures passées ensemble à le comprendre, un de mes grands favoris.

Pourtant, rien ne présageait un tel engouement, un simple petit prix, un jeu indépendant avec un gameplay arcade axé sur le score. J’avais affreusement tort.
Je m’étais procuré la collection UBERMOSH durant les soldes, et ce fut une excellente idée.
UBERMOSH, sont une série de jeu arcade, où le but est de survivre des vagues infinies d’ennemis. UBERMOSH: SANTICIDE est le dernier de la série, et aussi l’un des plus complets.
Son gameplay est d’autant simple, c’est du classique « two sticks » comme l’amateur de bornes d’arcade vous répondra, un stick pour le déplacement de votre personnage en évitant tous les tirs et les ennemis tel un bullethell (Et que j’adore un bon BulletHell de temps en temps), un autre pour choisir où viser, pour après, tirer avec l’arme en main, où découper tout ennemis ou projectiles à votre portée.
Simple non ? En effet, non.
En jouant à UBERMOSH, l’attention aux moindres au détail est décuplé, on devient comme si on jouait la partie la plus importante de votre vie, encore et encore…
On commence à faire ses propres stratégies de déplacement, tentant en vain d’esquiver et feinter les ennemis, réessayant encore et encore…
On tente différentes techniques avec les armes à notre disposition, à comprendre leurs patterns, et à y tenter d’attaquer certains ennemis à notre perte pour leur propre arme étant plus habituée à cette situation, recommençant encore et encore…
On commence à développer des réflexes de plus en plus rapides à dégainer notre lame, tentant de se frayer un passage envers la murée d’ennemis, jusqu’à ce petit détail oublié derrière le dos de votre personnage, vous fessant perdre votre partie, encore et encore…
En moins de temps qu’il en faut, et que vous êtes encore plus téméraire que moi, vous vous surprendrez avec des heures et des heures engrangées dans les jeux de Walter Machado, maximisés tous les records dans tous les modes de jeu que vous désormais maitrisez au boût des doigts.

Moi, J’y avais du mal à y croire.
Sauf que vous voyez, j’utilise cette même phrase pour décrire ce jeu.
Réalisé par un studio indépendant Polonais, The Farm 51, auquel on doit Get Even & Chernobylite, il est… Impressionnant.
Ce jeu possède un niveau de production similaire à n’importe quel jeu triple A, et ce n’est sans y rajouter.
Les grandes cartes espacées que je trouve très bien créées avec une particulière attention au gameplay, permettant pour de grands nombres de scénarios de combats tactiques, les vingtaines d’armes superbement modélisées au moment où je vous parle qui possède un système de customisation très avancé et personnellement, je dirais même qu’un système aussi poussé que celui-là, c’est du jamais vu.
Ainsi que le gameplay, privilégiant la tactique et la prudence au maximum, car une petite poignée de balles suffirait à te tuer est sûrement la partie que j’apprécie le plus dans ce jeu.
Cela en devient aussi, presque difficile a supporter, tant que les premieres parties vous feront suer.
On dirait possiblement que je suis en train de cirer les chaussures des développeurs de ce jeu, mais vous verrez que vous aurez de grandes chances de faire de même après quelques parties.

C'est un tout petit jeu, qui apprend comment réaliser un café latte avec tout le matériel d'un bon barista.
C'est très simple et évidemment, très court, mais cela a été intérrésant d'y jouer. Cela aura sûrement plus d'intérét pour d'autre si cela proposait beaucoup plus de tutoriels pour différents types de breuvages chaud.

Pourtant, Ce n’est juste qu’un simple FPS avec des gentils américains, et des méchantes forces islamistes, et qu’il faut être gentil, et pas méchant, car c’est pas gentil d’être méchant, Non ?
Eh bien… En surface, oui. Mais a y jouer, Cela te donne tellement d’adrénaline !
C’est un jeu qui se veut le plus réaliste possible, tout en gardant son côté fun et tendu à jouer. Et, il a réussi à faire un juste équilibre. Comparément aux FPS les plus titrés et joué du moment, nous ne pouvons survivre à une petite rafale de balles bien placés, ce qui ajoute un degré de tension supplémentaire entre tous les tirs des alliés, et de leur tête explosant sur le sol, et entre tous les cocktails Molotov et explosions en tout genre. On a la possibilité d’éliminer très rapidement, mais lui aussi. Donc, on devient paranoïac et cherche tout au tour de toi, au risque de voir un soldat caché dans la pénombre, ou se penchant au traver du coin de la porte, ou d’être en ligne de mir d’un tireur d’élite…
Mais surtout… CE JEU FONCTIONNE TELLEMENT BIEN AVEC MA PLAYLIST METAL PERSO, C’EST INCROYABLE COMMENT CELA VA BIEN ENSEMBLE.

J’adore le concept de ce jeu.
On se met à la place d’un enquêteur ayant comme outils, la vie privée des personnes que l’on enquête, parmis ces conversations privées, ses posts, ses fichiers, ses blogs, etc. On pourrait même possiblement décrire le jeu comme un point and click, où l’on tentera de trouver recherches, par recherches, les informations clées qui culpabilisera ou non notre suspect, parmis toutes les possibles fake news, mensonges à leurs proches, refus personnel de l’admettre et autres obstacles pour personnes comme nous, traquant et suivants leur activité sur le net. Rien que la première mission de « tutoriel » nous met petit à petit, à possiblement choisir de défendre, ou accuser notre suspect par les informations que nous rajoutons à propos de lui, ce qui montre déjà l’étendu des possibilités de choix sur l’histoire déjà au grand jour. Un jeu que je recommande fortement, si bien sûr, vous souhaitez jouer un petit peu d’être le dieu des data de tout le monde. que vous souhaiter travailler chez Facebook ou Google en gros…

Bon, C’est un jeu très simple, avec un concept plutôt tiré de jeu mobile.
Il suffit de récupérer le maximum de points en tournoyant son petit point, dans le but de récolter le plus score.
Mais à l’instar de la plupart des jeux mobiles disponible ici, Celui méritera mon appréciation, dû à la qualité de son portage.
Succès fonctionnant sans problème, Graphique parfaitement adapté au large écrans (Et même en 21:9 !), Compatible 4 K sans aucun artefact de mauvaise qualité, tourne sans aucun problème.
C’est comme cela qu’un jeu mobile doit-être adapté sur une plateforme comme ceci.

• C’est stupide, en effet.
  
• C’est drôle cependant.
  
• Le jeu est très bugué.
  
• Mais cela en devient amusant.
  
• Le terme simulateur n’est pas vraiment bien placé.
  
• Mais son humour à la subtilité d’un camion benne volant.
  
• Le gameplay semble limité.
  
• Car c’est toi qui exploites les possibilités dans ce jeu sans sens.
  
• Est-ce que j’ai besoin de plus en parler ?
  
• Car je pense que cela vous a prouvé que ce jeu est loin d’être ennuyant.